Le cercle des poétesses de Kaboul

Odeur de soufre et subterfuges

« Ce samedi-là, la présidente de séance, Iley Ahadi, brandit un téléphone portable et appuie sur la touche haut-parleur.
Une voix grésille, lointaine, fluette, et se met à déclamer. C’est une poétesse du Wardak, province située à l’ouest de Kaboul, qui lit son poème au téléphone. »

Article written in the Le Monde by Frédéric Bobin about women writing poetry in Afghanistan, despites all odds.

 

 

DATE
May 2021
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